controles
 

Projet CREDESA

" FICHE V " du

Livret-guide de production

1ère Partie

3 - Contrôles à réaliser 1- Normes à respecter
2- Le laboratoire

Organisation
4- Organisation du travail

2 ième Partie

Evaluation des coûts 5- Coûts de revient
Problèmes 6- problèmes

1- NORMES A RESPECTER

C22°C < température < 38°C
8.5 < pH < 11.3
0.5 < Secchi < 5
1000 < densité < 1020
18 cm < hauteur des cultures < 22 cm


ATTENTION : " être dans les normes " ne garantit pas le bon état des bassins ni une croissance régulière.
Il s'agit de conditions nécessaires mais non suffisantes.
En particulier les variations de ces mesures ont presque autant de signification que leurs valeurs elles-mêmes ; leurs évolutions doivent être notées soigneusement au cours d'une journée et au cours de périodes plus longues (semaines).

2 - LE LABORATOIRE

Pour travailler dans de bonnes conditions, un lieu spécialement aménagé doit être prévu sur le site de production.
Pour le projet de Pahou une maisonnette de 60 m2 a été construite près des bassins.
Celle-ci est divisée en trois espaces :
- une première pièce sert de magasin pour entreposer les produits secs (dont les intrants),
- la seconde, ou laboratoire, doit servir aux pesées, aux travaux de post-récolte et de pré-séchage (par
exemple, l'extrusion en spaghettis),
- la troisième, quant à elle, est l'atelier des séchoirs.

Un minimum de matériel nécessaire pour le contrôle de la bonne marche des cultures

doit être trouvé dans le laboratoire.
Equipements à réunir (minimum) :
  • Thermomètre pour contrôler la température des bassins (plage 10°C à 60°C, ou 0°C - 100°C) Eviter les thermomètres à mercure qui, en cas de casse, peuvent polluer la spiruline. Des thermomètres à alcool ou électronique digitaux sont conseillés. (250 à 300 FF°)
  • Disque de Secchipour contrôler la concentration en spiruline dans les bassins (il faut le fabriquer soi-même)
  • pH-mètre avec une ou des électrodes de rechange, avec des étalons de pH 7 et 10 en gélules, avec des piles de rechange ; il faut éviter, si possible, les pH-mètres trop petits, genre Picolo, dont la durée de vie est faible. Un pH-mètre Hanna ou Orion coûte environ 2500 à 3.000 FF ; électrodes de rechange entre 700 et 900 FF
  • du papier pH pour contrôler le pH
  • un densimètre (1 - 1.05) pour contrôler la concentration de sels dans les milieux de culture (150 FF)
  • un microscope pour contrôler les contaminations éventuelles des cultures et s'assurer de la morphologie des spirulines. (microscopes monoculaires, grossissement 50 X à 400 X ; prix variables : 900 à 1.500 FF
  • du papier filtre : des filtres à café n°4 sont parfaits ; rouleaux de Sopalin.
  • Petits aquariums pour lancer des ensemencements ou pratiquer les tests de toxicité [à l'aide de cistes (œufs) d'Artémias]
  • Nombreux récipients en plastique transparents, avec couvercles, genre Curver ou Tupperware, pour des stockages divers (spiruline fraîche, spiruline sèche en attente d'emballage, pratique du test d'humidité résiduelle)
  • Plusieurs balances : une permettant de peser de quelques grammes à 1 ou 2 kg maximum, sensible et juste. D'autres balances sont nécessaires pour des charges plus importantes. (une jusqu'à 10 kg et une autre allant . Au-delà (voir ci-dessous)
  • Remarque : les balances électroniques que l'on trouve un peu partout (usage cuisine le plus souvent) sont sensibles, commodes (on peut mettre la tare en mémoire), digitales (les risques d'erreurs de lecture sont diminués) et bon marché. Cependant, à moins d'acheter des modèles spécialement "tropicalisées", - plus chers et rares - leur durée de vie dans l'atmosphère humide des Tropiques est très courte : quelques mois dans certains cas. Les balances Roberval sont des balances idéales mais on en trouve de moins en moins. Les pèse-bébés existent dans différentes plages de mesure et sont à recommander car ce sont des bascules et non des "pesons". Enfin, pour peser des sacs d'intrants, une balance"romaine" allant jusqu'à 25 ou 50 kg rendra les plus grands services.
  • éprouvettes pour mesurer des liquides ; pipettes graduées à 1 trait ou 2 traits (300 à 400 FF)
  • récipients en plastique (gradués si possible) : seaux, flacons, bouteilles, bidons, bassines
  • kits d'analyse des principaux intrants (fer, nitrates, nitrites, phosphates, dureté de l'eau) Une trousse HACH pour le dosage du fer (petit colorimètre) avec 50 gélules : 200 FF
  • …………………

3 - CONTROLES A REALISER

Pour vérifier la bonne santé des cultures il est nécessaire chaque jour de relever un minimum d'informations liées à chaque bassin. Celles ci permettront le cas échéant de faire la rétrospective des événements et d'analyser les problèmes pour trouver des solutions applicables.
Il est ainsi recommandé de noter, chaque jour après récolte et le soir après nettoyage des bassins, les renseignements suivants :

le pH qui, pour une culture en production, doit augmenter légèrement entre le matin et la fin de la journée.
« Le matin, le pH sera plus bas que le soir à cause du CO2 libéré la nuit par la respiration. La photosynthèse augmente le pH pendant le jour, chaque mole de carbone fixée par la spiruline libérant des ions hydroxyles OH-.
Dans une culture non enrichie artificiellement en CO2, cet ion OH- et l’addition nocturne de CO2 se combinent pour donner un pH autour de 10,5 »
……..
« Quand on envoie des bulles de gaz CO2,il faut contrôler le pH le matin, le soir et pendant l’admission du CO2 pour savoir quand commencer et quand arrêter….. Envoyer continuellement du CO2 n’est pas nécessaire, introduire le gaz jusqu’à obtenir un pH de 9,5 une fois toutes les 4 heures suffit »

la température pour s'assurer que celle-ci correspond bien aux normes et éviter les “coups de chaud”
la concentration en spiruline avec le disque de Secchi, avant récolte pour s'assurer que le bassin peut être
récolté et en fin de journée et pour constater la multiplication normale de la souche.
la densité en sel afin de réagir contre une concentration trop haute en faisant des purges.
la hauteur des cultures pour compenser l’évaporation ou réduire l’excédant d'eau de pluie.
les contaminations possibles,

la morphologie générale de l'algue avec un microscope (pour voir si la spiruline reste bien spiralée :
si la proportion de “droites” augmente, on risque d’avoir des problèmes de filtration).

Contrôle biologique et chimique de la spiruline
La spiruline doit répondre à certaines normes :

Analyse sur produit sec
ppm (mg/kg) (<ou=)
Arsenic 3
Cadmium 0.5
Mercure 0.1
Plomb 5
Etain 5
Iode 5000
Analyse sur produit frais et sur produit sec
< ou = (unités par g)
Germes aérobies 100.000
B1Thiamine 10
Anaérobies sulfito-réducteurs 100
Clostridium perfringens 1
Staphylococus aureus 100
Salmonella: absence/25g
Il est important également de faire doser les éléments suivants pour voir si ceux présents dans la spiruline qu'on produit sont à l'intérieur des chiffres généralement admis.
Pourcentage en Poids
Protéines (azote total)l 65 (norme>50)
Glucides 15
Minéraux 7
(norme.de.cendres:<10)
Lipides
6
Fibres 2
Fer 0,05 à 0,15
Eau 5 (norme <10)


Par conséquent, il faut périodiquement demander à un laboratoire spécialisé de contrôler tel ou tel point de ces contenus. (Laboratoires de la D.A.N.A. à Porto Novo (Direction de l'Alimentation et de la Nutrition Appliquée)
Le contrôle biologique (bactériologique) doit être entrepris systématiquement chaque semestre et en tout cas chaque fois que l'on a des doutes (couleur, odeur)
Le contrôle du fer, des protéines, des lipides et glucides est à lancer une fois par an.
· Ecritures
Elles doivent être nombreuses, lisibles et bien classées.
Le poids de spiruline prélevée dans chacun des bassins doit être enregistré pour connaître la production mensuelle de chacun d'eux et rétablir des situations anormales.
Les produits consommés doivent eux aussi faire l'objet d'un enregistrement pour permettre le calcul du rapport production/consommation et définir ainsi le rendement et le coût de revient du produit.
Le stock de spiruline doit être géré pour toujours écouler les produits les plus anciens avant les derniers récoltés.
Le stock des produits chimiques doit être étroitement surveillé pour prévoir les besoins et les achats de renouvellement (importations le cas échéant).

· Autres problèmes : agitation des bassins, ombrage, niveau d'eau (après une grosse évaporation, ne pas noyer les bassins avec une arrivée d'eau intempestive : pas plus de 20 litres/m² à la fois.

4 - Organisation du travail
Répartition des tâches Les dispositions adoptées à Pahou pour le projet spiruline tiennent compte de son insertion dans le CREDESA et ne sont donc pas forcément extrapolables à tout projet d'une taille similaire mais entrepris dans un contexte différent..

Les 8 bassins du CREDESA à Pahou sont pris en charge par une équipe de 3 personnes (organisation susceptible d'être modifiée (voir plus loin) :· Un responsable travaillant au tiers de son temps. (dans un autre contexte que celui du CREDESA, un responsable à temps complet serait nécessaire)· Un technicien à temps complet (ou à mi-temps + 3 ouvriers de 7h à 13 h chaque jour de récolte) · Un ouvrier à temps complet Pour travailler convenablement, cette équipe a besoin de moyens. Sauf le cas d'une entreprise familiale, on suppose l'existence d'un bureau, de classeurs, d'un téléphone, d'un fax et de moyens informatiques pour la tenue des écritures (ces deux dernières facilités pouvant à la rigueur être sous-traitées)

Une équipe de trois personnes à plein temps est un minimum pour un projet basé sur une exploitation moyenne (300 m² par exemple).Le projet Koudougou (Burkina Faso) représente 500 m² et fonctionne gràce à trois personnes à plein temps, plus cinq autres personnes "à la tâche" (demi-journées, quand il y a des récoltes ), le tout chapeauté par la Procure Diocésaine. Cette dernière précision introduit la remarque suivante.

Remarque importante :
En pratique, un projet spiruline résulte de la décision d'une association (ONG ou organisme quelconque), motivée par la prise de conscience des avantages qu'on peut retirer. de cette algue Il est rare, en tout cas difficile, qu'un projet spiruline puisse voir le jour sans l'aide d'un partenaire extérieur déjà expert en spiruline. L'équipe d'algoculteurs constituée verra sa formation facilitée par ce partenaire extérieur. Cette équipe peut faire partie de l'association promotrice mais ne se confond pas nécessairement avec celle-ci dont les membres ne sont pas obligatoirement des algoculteurs. D'autre part, sauf, peut-être, recours à une mécanisation poussée, il est douteux que l'équipe minimum décrite ci-dessus soit en mesure de travailler de façon complètement autonome à l'intérieur de l'organisme qui l'a mobilisée. Cette équipe est au contraire en relation, d'une manière ou d'une autre, avec l'organisme à la base du projet et les algoculteurs en retirent une assistance réelle. Les liaisons sont nombreuses et bénéfiques. L'indépendance complète demanderait des moyens complémentaires pour compenser ces synergies précieuses.

Il ne faut pas dimensionner une équipe d'algoculteurs sans parler du contexte dans lequel elle doit s'inscrire.

Le Responsable
Il doit être capable de faire face à de nombreuses exigences, en particulier, :
- réaliser le tonnage annuel de spiruline prévu,
- mettre cette spiruline efficacement au service de la lutte contre la malnutrition,
- rendre cette entreprise financièrement autonome, travailler en réseau avec d'autres centres d'algoculture dans le pays même ou dans d'autres pays.Ces engagements sont lourds et ne peuvent être menés à bien qu'avec l'aide d'un second très actif

Le responsable (ingénieur agronome dans le cas de Pahou) doit avoir une très bonne culture générale et avoir reçu une formation d'algoculteur.
Il doit avoir le sens de la communication : produire de la spiruline de façon isolée n'est guère imaginable :
- les occasions de progrès doivent être recherchées : il faut se tenir au courant

il faut rééagir vite quand des situations d'échecs se présentent.
En effet il ne faut pas oublier que la spiruline étant un être vivant, des problèmes inattendus et complexes surgissent de temps en temps. Ils seront d'autant mieux résolus que l'on pourra faire appel à l'expérience des autres
C'est le rôle du responsable que de savoir à qui s'adresser pour demander des conseils ou faire part de son expérience.
Gérant le moyen terme et le long terme, il a en charge les relations extérieures : la clientèle, les fournisseurs, les organismes publics, la diaspora des algoculteurs, etc.
Il doit veiller à la tenue des comptes et disposer d'une trésorerie suffisante pour payer les salaires de l'équipe de production, les approvisionnements, et les dépenses courantes (entretien, etc.).
Ce qui signifie une attention vigilante au prix de revient, au prix de vente et aux stocks de spiruline

Technicien et ouvrier

- Le technicien est un bachelier. (cas de Pahou, situation qui peut être modifiée)
Autre cas de figure possible : une personne ayant fait des études secondaires (homme ou femme) et travaillant à mi-temps pour mettre au net toutes les écritures, (stock, consommation, récoltes, ensachage, tenue des ventes, numérotation des lots (ventes cash, ventes à crédit, stock) + 3 personnes (3 ouvrières par exemple ne venant travailler que le matin pour récolter ; niveau : au moins une personne alphabétisée)(expérience Koudougou : 1 ouvrière à mi-temps /100 m² de bassin)

- Le technicien est un bachelier. (cas de Pahou, situation qui peut être modifiée)
Autre cas de figure possible : une personne ayant fait des études secondaires (homme ou femme) et travaillant à mi-temps pour mettre au net toutes les écritures, (stock, consommation, récoltes, ensachage, tenue des ventes, numérotation des lots (ventes cash, ventes à crédit, stock) + 3 personnes (3 ouvrières par exemple ne venant travailler que le matin pour récolter ; niveau : au moins une personne alphabétisée)(expérience Koudougou : 1 ouvrière à mi-temps /100 m² de bassin)

- L'ouvrier sait parfaitement lire, écrire et compter
Tous deux viennent très tôt le matin remettre les moteurs d'agitation en marche et démarrer les opérations de récolte décidées la veille.



L'ouvrier dispose les toiles de filtration sur leurs cadres en bois : 2 ou 3 bassins différents sont récoltés chaque jour. La récolte consiste, pour l'instant, à puiser à la main des bassines dans les bassins et à les déverser sur les filtres. La filtration étant assez lente, on peut s'occuper de plusieurs filtres à la fois. Des tentatives de mécanisation ont été faites : une pompe immergée dans le bassin débite le liquide directement sur la toile. Les premières pompes n'étaient pas assez puissantes pour refouler convenablement au-delà de 60 cm de dénivelée et la filtration n'allait pas plus vite. Les pompes suivantes étaient trop puissantes et cassaient la spiruline. Des pompes mieux adaptées vont prochainement être à nouveau essayées. Elles devraient alors libérer en grande partie l'ouvrier de l'opération de filtration proprement dite et lui permettre de commencer les opérations d'essorage dès qu'une récolte est terminée sur un bassin donné.
Pendant ce temps, le technicien reporte sur des cahiers spécialisés les diverses mesures de contrôle effectuées sur les bassins. Il donne un coup de main à son collègue ouvrier de façon à ce que les opérations d'essorage soient terminées le plus vite possible. Dès qu'il peut entrer en possession d'une quantité de spiruline essorée, il commence à l'extruder en spaghettis sur des claies de séchage. La production de chaque bassin fait l'objet des pesées réglementaires (poids d'égoutté, poids d'essoré) et tout est noté. Quand la spiruline est de belle qualité, les opérations de filtration, d'essorage et d'extrusion s'enchaînent rapidement et il est possible parfois de mettre dès 11 h les premières claies garnies dans les séchoirs (préalablement mis en chauffe pour gagner du temps). Il arrive malheureusement que la spiruline soit difficile à filtrer, les toiles étant tout de suite colmatées. L'essorage, ensuite, est également ralenti et les spaghettis extrudés, très mous, garnissent mal les claies de séchage.


OPERATION SECHAGE:

Le séchage devrait pouvoir commencer vers 11h - 12 h de façon à être terminé avant17 h. Après séchage, les spaghettis de spiruline
… sont vidés sur une grande toile.Friables, après avoir été broyés grossièrement à la main, ils sont réduits en poudre dans un mixer électrique.

Après pesée de chaque opération de séchage, l'ouvrier remplit des sachets vides avec des quantités mesurées de poudre de spiruline.
Il scelle ces sachets avec la thermosoudeuse, appose une étiquette sur laquelle il fait figurer le numéro du lot afin de garantir la traçabilité de la spiruline.
Pendant le séchage, le technicien et l'ouvrier procèdent à la nourriture du bassin récolté :
Ayant calculé la quantité de spiruline sortie d'un bassin, il faut remettre dans le bassin les intrants manquants sur la base d'une addition tous les kg de spiruline récoltée. Pour cela, des solutions de mélanges "maîtres" sont préparées dans des bidons, de préférence à l'avance, et les volumes nécessaires sont versés dans les bassins intéressés. L'apport du fer fait l'objet d'une addition séparée ("perfusion", goutte à goutte) Les opérations d'entretien courant sont effectuées l'après-midi.


En fin d'après-midi, il faut procéder aux mesures quotidiennes obligatoires sur chaque bassin :
· pH
· concentration en spiruline (Secchi)
· température
· hauteur d'eau,
· densité, salinité,
L'observation des bassins doit être méthodique et complète (examen au microscope de la forme des filaments de spiruline, % de droites/spiralés par exemple, présence ou non d'algues étrangères ou de contaminants quelconques)
En fonction des résultats, les bassins à récolter le lendemain sont programmés.


Le technicien doit mettre au propre les résultats des mesures et en tirer les observations qui s'imposent. Il doit mettre à jour le cahier des stocks d'intrants et examiner si les consommations rapportées aux productions sont correctes. Il doit également calculer la productivité des bassins. En particulier, en cas d'emploi de gaz carbonique, si la productivité reste faible, il doit revoir le système de dispersion du gaz dans les bassins.
Enfin, il faut signaler que le technicien est chargé de la vente de la spiruline aux Agents de santé villageois ainsi qu'aux divers clients qui viennent toute la journée s'approvisionner en sachets de spiruline. Il tient le cahier des ventes et des stocks de spiruline et remet l'argent des recettes soit à son supérieur, soit à la caisse, en échange de décharges. Aux clients qui ne paient pas comptant les sachets de spiruline qu'ils emportent, il fait signer un "bordereau".

Le responsable doit prendre connaissance des résultats qui lui sont soumis et discuter avec le technicien et l'ouvrier de tous les problèmes de la culture.




2ième Partie


Les INTRANTS de la CULTURE
5 Evaluation du coût de revient

d'un Kg de SPIRULINE (hors main d'oeuvre et frais de distribution)

CLIQUEZ ici pour: §5: "Les INTRANTS" & "les COÛTS" de la CULTURE de SPIRULINE ou le §6: "résoudre les problèmes divers"  ]



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